Le 10 juin prochain, les Valaisans et Valaisanne voteront
sur un crédit de plusieurs millions de francs en vue d’une candidature de la
Ville de Sion pour les Jeux Olympiques d’hiver de 2026. Or selon un sondage
Tamedia, la population n’en veux pas.
Gigantisme, coût et rentabilisation des investissement
sur le long terme font notamment peur au gens. Des arguments dont se servent d’ailleurs
les partisans du non dans leur campagne Il est vrai que de nombreuse ville ont
peiné dans la rentabilisation des installations construites spécialement pour
les Jeux et les nombreux reportages des médias sont là pour le démontrer. Cependant, le gigantisme des précédent Jeux
Olympiques et souvent dû à la construction d’installation inexistante et
parfois démesurée et les Jeux de Sotchi en 2014 en sont le parfait exemple. Installation
gigantesque construit à partir de rien devenues subitement désuète, accusation de
détournement de fond ou pot de vin, bref, les comparaisons négatives ne manque
pas.
Mais comparaison n’est pas raison. Les Jeux Olympiques en
Russie, plus belle exemple de démesure, se sont déroulés sur un site presque
vierge et les organisateurs, et pas seulement, ont fait construire des installations
démesurées comprenant ligne de chemin de fer, centrale électrique, aéroport…etc.
cumulant 50 milliards de dollars d’investissement.
La Suisse, pays du sport international dispose d’installation
déjà existante sur sont territoire et pas seulement en Valais qui corresponde
au besoin des athlètes pour les compétitions Olympiques et limites de faites les
investissements nécessaires en installation sportives. Les pistes de ski
notamment sont déjà construite à Crans-Montana et homologuées coupe du monde
par la FIS. D’autres installation existe en Suisse pour accueillir le saut à
ski comme à Engelberg. Repartir les compétitions sur le territoire permettrait
de réduire les coûts sans construire d’importante installation supplémentaire
et le réseau ferroviaires performant du pays mis à contribution pour déplacer les
spectateurs. Exploitant ainsi des constructions existantes qui ne nécessiterait
que pas ou peu d’investissement pour leur adaptation aux normes olympiques. Cela
correspond également à l’agenda 2020 du CIO.
Défendre une candidature à certes un coût important pour
les villes candidates mais l’investissement sur long terme n’est pas
négligeable. La suisse à une longue tradition d’accueil de compétitions sportives
international et l’organisation des Jeux permettrait d’accueillir des
compétitions importantes pas la suite en Valais ou ailleurs. Des installations
démontables sont également réalisables, à titre de comparaison, pour la fête des
vignerons en 2019, une arène de 20 000 places digne d’un stade de foot est
prévue pour une durée d’un mois environ. Même si les deux événements sont différents,
cette fête prouve qu’il est possible de construite des structures provisoires d’importance
conforme aux attentes du public et démontable par la suite.
Gageons que les arguments des partisans des Jeux Olympiques
Sion 2026 sauront séduire la population Valaisannes et helvétiques. La campagne,
elle, ne fait que commencé.