mercredi 8 février 2017

Erik Gay champion de Super-G !

Une belle piste, et une belle histoire. Celle d’Erik Gay. En matant tous les favoris, le Canadien a prouvé qu’il pouvait être prêt le jour J pour jouer la gagne. Pourtant, il n’est pas un inconnu sr le circuit mais de nombreuse blessure et le poids des année (il a 35 ans) l’empêche de jouer avec les meilleurs et de truster les podiums en coupe du monde. Mais les mondiaux et leur course d’un jour, amène souvent de belle surprise.  Pourtant, ce n’est pas la première fois qu’Erik Gay mont sur la plus haute marche lors des championnats du monde à Garmisch en 2011, il s’est offert la première place de la descente sous le nez du grand favoris, un certain Didier Cuche.

Mercredi, c’est le scalpe d’un autre favori que le Canadien c’est offert, le Norvégien Kjetil Jansrud médaillé d’argent sur un parcours de vitesse plus que de technique faisant parlé sa science de la vitesse pour en emmagasiner un maximum et la conserver jusqu’à l’arrivée en réalisant une course très propre. Mais comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seul, un second Canadien est monté sur la boite ne la personne de Manuel Osborne-Paradis, de quoi rappelé la grande époque des Crazy Canucks.

L’exploit réalisé par Erick Gay est remarquable si l’on prend en compte le fait que le Canadian à lourdement chuté il y a 10 jours à Garmisch à la sortie d’un saut heureusement sans gravité sauvé par l’airbag qu’il portait., sachant qu’il n’a plus couru depuis cet accident. Erik Gay c’est pourtant lâché sur la piste de St. Moritz.

Côté Suisse, la déception est grande. Les skieurs helvétiques visaient une médaille, il s’en tire avec une 8e place comme meilleur résultat revenue à Carlo Janka compromettant se chance dans la partie de glisse malgré une course plutôt propre. Favori, Beat Feuz a manqué d’attaque pour jouer la gagne au 12e rang. Il reste cependant la descente au skieur Suisse pour tenter de monter sur la boite. 

Une photo publiée par Erik Guay (@erikguay) le