On le sait maintenant depuis un peux plus de 2 semaines.
Fränzi Aufdenblatten raccroche. Mais la skieuse Valaisanne ne pouvais pas
prendre sa retraite sans un dernier coup d'éclat. Un dernier "au
revoir", pour que le public et les fans' se souviennent de se sourire, de ses
éclats de rire qui ont marqués la coupe du monde et nombres d'air d'arrivées
depuis le 11 mars 2000 et sa première course à Sestrières en Italie. La doyenne
des skieuses Helvétiques, c'est alignée durant 14 ans au plus au sommet du
cirque blanc, 236 fois en coupe du monde, 5 au jeu olympique et 12 fois aux
mondiaux ainsi que 85 en coupe d'Europe. Mais elle ne connaitra pourtant que 4
fois la joie du podium, mais seul 1 courses l'a vue gagné. À Val d'Isère, le 20
décembre 2009 en Super-G, un souvenir inoubliable, devant son amie Nadja Styger
2e et la reine Lindsey Vonn, un honneur. Au grand rendez-vous, la Valaisanne n'a jamais
pu truster les premières places, si ce n'est lors des Jeux de Sotchi, une 6e
place, en Super-G. Même si elle a songé à continuer «Ce n'est pas une
décision qui a été prise du jour au lendemain, elle s'est imposée à moi au fil
de la saison. Et moins qu'avec la tête, c'est avec mes tripes que j'ai senti
qu'il fallait arrêter». Plus que tout les autres, c'est ce podium, et cette
descente, la dernière qui marque sa carrière et laisse le souvenir d'une fille
qui a marquer part sa jovialité et sont sourire, faisant d'elle l'un des
visages incontournable du cirque blanc, cette skieuse discrète est rapidement
devenue une figure reconnaissable pour les skieuses, si bien que Tina Weirather
qui rejoins l'équipe Suisse en 2010, se surprendra même parfois à l'appeler
maman, al jeune skieuse de 24 ans, blessée, n'a pourtant pas manqué la dernière
course de sa meilleur amie l'arrosant de champagne après qu'elle aie passé la
ligne.
Aujourd'hui, Fränzi Aufdenblatten laisse la place à la jeune génération avec la manière, en laissant la victoire à une compatriote à qui le futur promet mille paillète. Lara Gut. L’ainée de l'équipe laisse sa place, et quitte une équipe au top de sa forme. Portée en triomphe et accueillie par une pancarte «Merci pour ton rire» portée par Didier Cuche autre figure du cirque blanc, un hommage simple, mais au combien précieux et symbolique. «Je ne suis pas montée tous les week-ends sur le podium. Et voir tous ces gens qui comptent pour moi si heureux… C’est la sortie parfaite», c’est elle exclamée, d'ou les larmes versée après avoir vu le public lui offrir le départ qu'elle mérite. Elle quitte le cirque blanc avec l'hymne national jouée en son honneur mais aussi celle de la gagnante du jour, Lara gut, qui elle, jouera encore de nombreux coup d'éclat qu'on lui connais "Ce n'était pas les JO mais beau quand même" rigole la Valaisanne pour la dernière fois. Une médaille pour illuminé une dernière fois le cirque blanc de se sourire inusable. La conclusion d'une carrière discrète. Adieu Fränzi, et Merci !
Quand deux génération se croise - Adieu Fränzi et Merci (photo: AFP)