Il semble que les équipes responsables des contrôles antidopage
fassent preuves d'excès de zèle au Jeux Olympiques de Sochi. La skieuse
Autrichienne Elisabeth Goergl en a visiblement fait les frais en étant réveillée
à 22h55 mardi soir, soit la veille de la descente olympique. Une décision un
brin malhonnête de la part du CIO qui, bien qu'il prétende vouloir tendre à une
tolérance zéro sur le dopage durant les Jeux, pourrais tout de même faire
preuve d'un minimum de respect pour les athlètes, qui eux contrairement aux
membres du CIO doivent se reposer.
La skieuse Autrichienne avait d'ailleurs fait appel de ce contrôle, l'équipe
autrichienne considérait alors que le contrôle avait perturbé la préparation de
la skieuse pour la descente prévue le lendemain dont elle à terminé 16e. Le CIO
à indiqué par l'intermédiaire de sont porte parole Mark Adams «Ce test a
été fait selon les règles et selon les standards du CIO. Nous avons une
tolérance zéro sur le dopage» affirmant également que les tests
sont
possible de 6h à 23h. Une tolérance zéro et une fenêtre de contrôle très
large,
sachant que rare sont les athlètes à se faire attraper lors d'un
contrôle mais
plutôt via des enquêtes parallèles. C'est à se demander pourquoi le CIO
n'étant pas les tests sur la journée complète soit 24h24, on se souvient
notamment de Lara Gut tirée du lit à 6h du matin à Comano le jour de
ses examens finaux de maturité, les enquêteurs de l'antidopage avait
alors quitté Genève à 3h du matin.