mardi 31 décembre 2013

Accident et tragédie

L'accident de Michael Schumacher, plongé dans le coma après sa chute à Méribel, nous rappel que les accidents dans le sport de compétition mènent parfois à la tragédie.
29 octobre 2001. La Française Régine Cavagnoud s'entraine sur le glacier de Pitztal, seulement 2 jours après le géant d'ouverture de Sölden ou elle avait pris la troisième place. Alors qu'elle déboule d'un saut à plus de 80 km/h, la skieuse de 31 ans entre violement en collision avec l'entraineur allemand Markus Anwander, qui n'avait pas été prévenu de sont départ et se trouvait sur la trajectoire de la skieuse. Le choc tête contre tête propulse les deux corps à plus de 100m du point d'impact.  Regine Cavagnoud est victime de dommage cérébraux qui ne cesseront de s'aggraver au fil des jours jusqu'a sont décès le 31 octobre 2001. Elle avait remporté, la saison précédente, le globe de cristal du Super-G.

Sa dernière victoire lors de la saison 2000/2001

Mais la coupe du monde de ski à connu un autre accident tragique, avant la Française. La skieuse Autrichienne Ulrike Maier connaîtra elle aussi un sort tragique. Lors de la descente de Garmisch en Allemagne le 29 janvier 1994 elle pert le contrôle sont ski droit alors qu'elle déboule à prêt de 120 km/h et heurte violemment une cellule de chronométrage avec la tête, brisant la colonne vertébrale. La skieuse de 26 ans est tuée sur coup. Karl Flock, médecin en chef de l'organisation à l’époque «La chute a provoqué une luxation puis une fracture des vertèbres cervicales, sectionnant l'artère qui conduit le sang au cerveau.» contrairement à la skieuse française dont l'accident c'est déroulé lors d'un entrainement, celui de Ulrike Maier à eu lieu en course, cela à considérablement marqué le public et le cirque blanc. Lors de la reconnaissance le matin même, elle avait eu cette phrase «La piste est extrêmement verglacée. Si les organisateurs ne font rien, cela sera trop dangereux.», triste prémonition. Menant d'ailleurs la journaliste turque, Kamil Taylan, à crée un reportage sur les dangers du ski alpin pentes mortels: course de ski à tout prix. Elle laisse une petite fille de 4 ans, à qui elle avait promis que cette saison olympique serait la dernière. Maudit hiver.

© www.skilauf.rauris.net

Même si aucun accident mortel ne c'est reproduis depuis, les deux exemples ci-dessus démontre à eu seul les risques pris par les skieurs et skieuses sur les pentes raides et glacés du cirque blanc. De Daniel Albrecht le 22 janvier 2009 à Kitzbühel, à Tessa Vorley à Courchevel cette année en passant par Lindsey Vonn au mondiaux de Schladming, chaque saison apporte sont lot de blessé/ée). Mais quelques soit les risque, ces athlètes en sont conscient  et les acceptes. Il s’entraîne parfois des heures ou des années pour décrocher le titre ultime. Le vrai risque serait encore de ne pas en prendre. Et tant que nous seront capables de nous émerveillé et de rêver, les défis présentés, nous pousseront jusqu'au limites, et au delà.