Un dernier hommage a été rendu vendredi à
Estelle Balet, décédée des suites d’une Avalanche le 16 avril à Orsières lors
du tournage d’un film en pratiquant sa passion, le snowboard. Comme beaucoup,
Estelle vivait pour son sport qu’elle pratiquait avec passion et tout comme l’Américaine
Sarah Burke, C’est en l’a pratiquant qu’elle a trouvé la mort.
Mais au-delà du coté dramatique du sport de
haut niveau, Estelle Balet laisse l’image d’une fille posée, souriante. Un rayon
de soleil comme l’on témoigné de nombreuse personnalité qui l’ont connu dans
les médias. Il faut dire qu’a 21 ans, la rideuse avait tout pour elle,
vainqueur de l’Xtreme de Verbier fin mars, elle devient championne du monde de
freeride pour la seconde fois de sa jeune carrière quelques jours plus tard.
Mais il serait inutile de poser des
questions et cherchez des réponses. Car Estelle pratiquait sa passion, son
sport et connaissant les risques et les enjeux. En compagnie de l’aventurière Géraldine
Fasnacht rideuse expérimentée partie juste avant elle sur la même pente. Géraldine a perdu sa petite sœur de cœur, et
le Freeride, une skieuse de talent. Une famille a perdu une fille et les fan’s
leur idole. Mais le sport s’en relèvera plus fort, conscient encore une fois des
risques liés à sa pratique et mais toujours passionné. La disparition d’Estelle
laisse un grand vide, une blessure qui restera à jamais et qui démontre s’il en
était encore besoin que l’on soit sportifs de haut niveau ou simple amateur, la
montagne tue et toutes précaution doivent être prise pour limiter les risques.
Estelle était équipé d’un airbag et d’un
casque qui n’ont malheureusement pas suffis à la sauvé. La meilleure des
sécurités c’est parfois de renoncé. Je vous laisserais médité cette citation :
Grimpez si vous le voulez, mais n'oubliez
jamais que le courage et la force ne sont rien sans prudence, et qu'un seul
moment de négligence peut détruire une vie entière de bonheur. N'agissez jamais
à la hâte, prenez garde au moindre pas. Et dès le début, pensez que ce pourrait
être la fin - Edward Whymper
Image: Keystone - LeMatin.ch