L'accident de Michael
Schumacher, plongé dans le coma après sa chute à Méribel, nous rappel que les
accidents dans le sport de compétition mènent parfois à la tragédie.
29 octobre 2001. La Française Régine
Cavagnoud s'entraine sur le glacier de Pitztal, seulement 2 jours après le
géant d'ouverture de Sölden ou elle avait pris la troisième place. Alors
qu'elle déboule d'un saut à plus de 80 km/h, la skieuse de 31 ans entre violement
en collision avec l'entraineur allemand Markus Anwander, qui n'avait pas été
prévenu de sont départ et se trouvait sur la trajectoire de la skieuse. Le choc
tête contre tête propulse les deux corps à plus de 100m du point
d'impact. Regine Cavagnoud est victime de dommage cérébraux qui ne
cesseront de s'aggraver au fil des jours jusqu'a sont décès le 31 octobre 2001.
Elle avait remporté, la saison précédente, le globe de cristal du Super-G.
Sa dernière victoire lors de la saison 2000/2001
Mais la coupe du monde de ski à connu un autre accident
tragique, avant la
Française. La skieuse Autrichienne Ulrike Maier connaîtra
elle aussi un sort tragique. Lors de la descente de Garmisch en Allemagne le 29
janvier 1994 elle pert le contrôle sont ski droit alors qu'elle déboule à prêt
de 120 km/h
et heurte violemment une cellule de chronométrage avec la tête, brisant la
colonne vertébrale. La skieuse de 26 ans est tuée sur coup. Karl Flock, médecin
en chef de l'organisation à l’époque «La chute a provoqué une luxation puis
une fracture des vertèbres cervicales, sectionnant l'artère qui conduit le sang
au cerveau.» contrairement à la skieuse française dont l'accident c'est
déroulé lors d'un entrainement, celui de Ulrike Maier
à eu lieu en course, cela à considérablement marqué le public et le cirque
blanc. Lors de la reconnaissance le matin même, elle avait eu cette phrase «La
piste est extrêmement verglacée. Si les organisateurs ne font rien, cela sera
trop dangereux.», triste prémonition. Menant d'ailleurs la journaliste
turque, Kamil Taylan, à crée un reportage sur les dangers du ski alpin pentes
mortels: course de ski à tout prix. Elle laisse une petite fille de 4 ans,
à qui elle avait promis que cette saison olympique serait la dernière. Maudit
hiver.
© www.skilauf.rauris.net
Même si aucun accident mortel ne c'est reproduis depuis, les
deux exemples ci-dessus démontre à eu seul les risques pris par les skieurs et
skieuses sur les pentes raides et glacés du cirque blanc. De Daniel Albrecht le
22 janvier 2009 à Kitzbühel, à Tessa Vorley à Courchevel cette année en passant
par Lindsey Vonn au mondiaux de Schladming, chaque saison apporte sont lot de
blessé/ée). Mais quelques soit les risque, ces athlètes en sont conscient
et les acceptes. Il s’entraîne parfois des heures ou des années pour décrocher
le titre ultime. Le vrai risque serait encore de ne pas en prendre. Et tant que
nous seront capables de nous émerveillé et de rêver, les défis présentés, nous
pousseront jusqu'au limites, et au delà.