Il ne reste désormais plus que quelques heures avant de connaitre
la ville hôte des Jeux Olympiques d’hiver de 2022. C’est en effet vendredi à midi
heure Suisse, que les membres du CIO réunit à Kuala Lumpur attribueront l’organisation
des Jeux Olympiques. Un choix rendu presque facile par la défection de
nombreuses villes candidates rapportant à seulement 2, le nombre de villes potentiel.
Almaty au Kazakhstan, ancienne république d’Union
Soviétique, présente un projet encourageant et compact puisque la distance
entre les différents sites de compétition et les trois villages olympiques n’excèdent
pas 40 km ces derniers sont également en grandes parties déjà construis,
permettant à la ville de présenté un projet peux coûteux. L’expérience de la
ville Kazakhs lui vient également de l’organisation des olympiades d’hiver de
2017 ainsi que l’organisation des Jeux
asiatiques de 2011.
Pékin en Chine, grand favoris puisque la ville à déjà
accueilli les Jeux Olympiques d’été de 2008 présente un projet à l’opposer de
celui d’Almaty et mise sur des sites éclatés et distant les uns des autres, d’autres
par, le manque de neige dans la région oblige les organisateurs au recours à la
neige artificiels en grande quantité, un projet peux écologiques, qui vise
selon les organisateurs à développés les sports d’hiver dans une région habités
par 300 millions de personnes.
À l’heure des économies financières et des consciences
écologiques, le vainqueur aura fort à faire pour convaincre un public encore
marqué par le gigantisme des Jeux Olympiques de Sotchi en 2014.
